Comment lutter contre le budget, selon un libéral
Le népotisme, la corruption et une désolidarisation de masse nous a entraîné jusqu’ici.
Pour renverser la tendance, il est urgent et nécessaire qu’il y ait une prise en charge de la part des citoyens menant à plus d’engagement et à une réelle mobilisation – manifestations pacifiques, lettres et pétitions aux élus ainsi qu’aux institutions, lettres par lesquelles les citoyens expriment leur colère et leur indignation à l’égard d’élus qui démolissent leurs acquis…-; Peut-être même devrons-nous songer à poser des gestes de désobéissance civile?
Si tant est que les élus ont oublié qu’ils sont au service du peuple; le peuple se doit de le leur rappeler.
Un mandat électoral n’est pas un chèque en blanc; quoi qu’en pense un premier ministre.
La refonte de la fiscalité est impérative et urgente si l’on souhaite vraiment voir s’améliorer l’état de nos finances publiques… Persister à ignorer cet état de fait illustre le manque de courage du gouvernement et démontre qu’il n’a que faire de la justice sociale.
(Source – premier commentaire)
Au fond, lutter c’est agir sans rapport de force et le pouvoir se résume aux élections. J’avoue que c’est ce qu’on aurait dû faire depuis longtemps, bon sang ! C’était si simple, si accessible. Alors, vite camarades ! Écrivons près de trois millions de lettres à Jean Charest avec pleins de pétitions signées et nous réussirons !
Câlisse de déconnecté.
9 avril 2010 à 11:40
Je suis d’accord avec ce qu’il dit mais c’est nettement insuffisant, pour les mêmes raisons que vous dites.