Les vies valent moins qu’un sac de chips en Haïti
À lire ces deux citations de Bill Clinton, nos vies valent moins qu’un sac de chips et la bourgeoisie est plus importante que le prolétariat. L’économie est beaucoup plus cruciale que la santé des vies haïtiennes.
«Nombre des familles les plus riches d’Haïti ont vu leurs maisons et leurs commerces détruits. Nombre des infrastructures économiques ont été endommagées», a dit vendredi sur CNN l’ancien président américain Bill Clinton, qui, à l’invitation du président Barack Obama, dirige la collecte américaine de fonds, avec son successeur, George W. Bush.
«J’ai demandé à nos fonctionnaires d’aider le gouvernement haïtien à mettre à jour son plan de développement économique en conséquence», a dit M. Clinton, envoyé spécial de l’ONU pour Haïti.
(Source)
15 janvier 2010 à 13:42
Haïti, grâce aux efforts de Clinton, sera bientôt remplie de travail (mais vidée de maisons).
18 janvier 2010 à 22:58
bin voyons! si les riches n’ont plus de façon de faire de l’argent, qui vas payer la classe ouvrière?
19 janvier 2010 à 00:23
Considérant que c’est la classe ouvrière qui produit les richesses (et la nature, mais c’est encore une fois la classe ouvrière qui en tire quelque chose), le peuple n’a pas besoin des riches. Bien au contraire!
Bien sûr, les biens nantis veulent nous faire croire le contraire.
20 janvier 2010 à 10:43
La « classe ouvrière » sont des termes passé-date. Mieux utiliser « prolétariat » ou « la masse prolétaire » car la « classe ouvrière » ne regroupe que les ouvriers et ouvrières, c’est-à-dire les travailleurs et travailleuses des minerais et toute production primaire d’extraction de ressources comme la pêche et l’élevage. Et même que l’élevage entre dans la « classe paysanne ».
Rassemblez les prolétaires, ne les divisez pas.
20 janvier 2010 à 15:52
@ L’Agitateur : je n’emploi pas le terme moi-même habituellement pour les mêmes raisons que tu mentionnes, il ne reflète pas la réalité actuelle. J’ai juste repris le terme employé par la personne avant moi.