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5 Réponses vers “Un sous-prolétaire contre une police montée”
Voilà une initiative à adopter et avec la masse, imaginez comment la police pourrait être semée grâce à notre colère canalisée sur les forces de l’ordre!
Vous êtes ce « prolétaire », ou alors vous vous trouvez juste à côté. Et vous arrivez, avec les autres, à attrapez ce « sale flic ». Vous prenez pas vraiment le temps de vous congratulez pour avoir fait preuve d’autant d’« audace » parce qu’après tout, vous avez votre proie. Vaut mieux en profiter rapidement.
Alors, vous faites quoi? Vous le passez à tabac, vous et votre groupe? Vous lui brisez les cotes à coups de pieds? La mâchoire? Vous lui écrasez les couilles avec satisfaction?
Jusqu’où vous irez? Quand allez-vous vous arrêter? Quand il sera inconscient? Quand il sera mort?
eux se gene de pas pour le faire! j’ai vu une fucking poussete se faire renverser et une vielle en marhcette se faire matraquer , des personnesqui etait pas dans des manifs se faire rouer de couppar le SPVM alors desoler mais la pitier j’en est pus.
L’histoire a montré que les puissances ne comprennent que le langage de la force… C’est bien malheureux, mais ça semble être la réalité. S’ils ne comprennent que le son des cannons, pourquoi devrions-nous leur parler dans une autre langue?
Quand le gouvernement viole les droits d’un peuple, il est alors tout à fait légitime pour celui de faire appel à l’insurrection, ça devient même son devoir. C’est un peu de dire que la fin justifie les moyens. Je ne croyais jamais dire ça, étant donné qu’il s’agit selon moi de contradictions d’employer des moyens immoraux pour une fin moral, mais si nous voulons un monde plus juste, peut-être la seule façon d’y parvenir reste de répondre à la violation des droits par des moyens à l’encontre des principes de démocratie et de non-violence. Je préfèrerais bien-sûr que les moyens soient en accord avec la fin recherchée, mais si la violence reste la seule solution, et bien, je crois que nous sommes rendu là…
11 octobre 2009 à 19:22
Voilà une initiative à adopter et avec la masse, imaginez comment la police pourrait être semée grâce à notre colère canalisée sur les forces de l’ordre!
12 octobre 2009 à 17:34
c’est pas un sous prolo, c’est un prolo (ouvrier en greve cher kratf en argentine ) n’empeche que bravo bien fait pour ce sale flic
12 octobre 2009 à 21:23
Vous êtes ce « prolétaire », ou alors vous vous trouvez juste à côté. Et vous arrivez, avec les autres, à attrapez ce « sale flic ». Vous prenez pas vraiment le temps de vous congratulez pour avoir fait preuve d’autant d’« audace » parce qu’après tout, vous avez votre proie. Vaut mieux en profiter rapidement.
Alors, vous faites quoi? Vous le passez à tabac, vous et votre groupe? Vous lui brisez les cotes à coups de pieds? La mâchoire? Vous lui écrasez les couilles avec satisfaction?
Jusqu’où vous irez? Quand allez-vous vous arrêter? Quand il sera inconscient? Quand il sera mort?
13 octobre 2009 à 23:06
eux se gene de pas pour le faire! j’ai vu une fucking poussete se faire renverser et une vielle en marhcette se faire matraquer , des personnesqui etait pas dans des manifs se faire rouer de couppar le SPVM alors desoler mais la pitier j’en est pus.
14 octobre 2009 à 17:26
L’histoire a montré que les puissances ne comprennent que le langage de la force… C’est bien malheureux, mais ça semble être la réalité. S’ils ne comprennent que le son des cannons, pourquoi devrions-nous leur parler dans une autre langue?
Quand le gouvernement viole les droits d’un peuple, il est alors tout à fait légitime pour celui de faire appel à l’insurrection, ça devient même son devoir. C’est un peu de dire que la fin justifie les moyens. Je ne croyais jamais dire ça, étant donné qu’il s’agit selon moi de contradictions d’employer des moyens immoraux pour une fin moral, mais si nous voulons un monde plus juste, peut-être la seule façon d’y parvenir reste de répondre à la violation des droits par des moyens à l’encontre des principes de démocratie et de non-violence. Je préfèrerais bien-sûr que les moyens soient en accord avec la fin recherchée, mais si la violence reste la seule solution, et bien, je crois que nous sommes rendu là…